Charte européenne de l’arbre d’agrément
La Charte européenne de l’arbre d’agrément a pour objet de régir les principaux rapports entre l’Homme et l’Arbre d’Agrément. Elle a été rédigée à l’occasion du 2ème Congrès Européen d’Arboriculture tenu à Versailles le 29 septembre 1995 et signée alors par les représentants de l’International Society of Arboriculture présents : France, Italie, Espagne, Allemagne, Autriche, Danemark, Angleterre et Irlande, Norvège.
Depuis, plusieurs villes françaises se sont engagées dans ce processus :
Villeneuve d’Ascq (59), Sorgues (84), Vierzon (18), Bourges (18), Nantes (44), Arles (13), Le Grand Lyon (69), Lille (59), Bordeaux (33), Dourdan (91), Versailles (78), Ormesson sur Marne (94), Lambersart (59).
Charte européenne de l’arbre d’agrément
Article 1 :
L’arbre est un être vivant : il naît, s’épanouit et meurt. Cependant son existence n’est pas à la mesure de l’échelle humaine et peut s’étendre sur plusieurs siècles.
Article 2 :
L’arbre d’agrément, planté et entretenu dans les aménagements urbains, parcs et jardins, en compagnement des voies ou du bâti, joue un rôle essentiel dans l’équilibre écologique de la plupart de nos lieux de vie. Il y apporte du bien-être et les embellit. Par ses rôles et son histoire, il se distingue des arbres forestiers, agricoles ou fruitiers, plantés et entretenus à des fins essentiellement utilitaires. Parfois cependant, l’arbre d’agrément, héritier de ces derniers, est aussi le survivant d’usages passés et à ce titre participe à la mémoire du territoire.
Une réponse
[…] que la Société Française d’Arboriculture (SFA) parle de Charte de l’arbre urbain et de Charte européenne de l’arbre d’agrément. Les exemples et les références commencent à apparaitre apportant un peu de matière à celles […]