La Lettre d’Arboriculture 86 – Hiver 2018
Bonjour à toutes et tous.
La présence de la SFA au travers de ses actions progresse et nous sommes de plus en plus sollicités, preuve de l’importance de la SFA au sein de l’arboriculture ornementale en France. Certaines actions sont « visibles » comme le changement de charte graphique de notre revue ou son passage en bimestriel pour 2019 soit 6 numéros par an au lieu de 4. D’autres le sont moins mais revêtent autant d’importance, comme les réponses à différentes sollicitations, par exemple la présence de la SFA – représentée par William Tromp – au colloque international organisé par Chantal Pradines regroupant de nombreux acteurs et interlocuteurs internationaux autour des arbres d’allées, ou encore à la journée de l’arbre de l’Arboretum des Barres courant novembre.
En parallèle, un important travail est en cours sur la formation au secours aérien par le collège formateur sous la tutelle de la MSA et en collaboration avec l’UNEP et le GRIMP (groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux des sapeurs pompiers). Ce projet de longue date n’avait jamais pu aboutir concrètement et l’ancienne formule (GSST) n’avait pas d’existence reconnue. Désormais cette collaboration et les partenariats en cours nous font espérer la mise en place d’une formation officielle dans le premier semestre 2019.
Un aboutissement et la concrétisation d’une volonté de reconnaissance de notre profession, un vrai pas en avant…
À ce propos si certains/certaines se sentent l’âme créatrice et sont prêts/prêtes à donner un petit coup de main, n’hésitez pas à vous faire connaître. Le travail a débuté, mais à plusieurs, c’est plus facile… Il y aussi la réactivation du prix Francis De Jonghe, le développement des collaborations avec la MSA et l’UNEP, l’amélioration de nos échanges avec les différents acteurs et structures autour de l’arbre.
Les idées ne manquent pas, nous sommes sur la bonne voie, mais les actifs au sein de la SFA même s’ils sont en forte progression – et je les remercie sincèrement de leur implication – sont encore trop rares ! Plus nous serons nombreux à nous partager toutes ces tâches plus la SFA grandira rapidement sans s’épuiser. Alors si vous avez de temps en temps un peu de disponibilité pour participer à ces projets, même à distance, manifestez vous !
Une association vit grâce à ses membres !
Laurent Pierron, président de la SFA